samedi 27 septembre 2014

Invitation de la Presse à notre dernière réunion

Nous avons invité le Ouest-France et le Télégramme à venir nous rencontrer lors de la dernière réunion du bureau le 25 septembre 2014. Nous leur avons présenté notre association (le bureau, le nombre d'adhérents déjà important, ...) et notre but : la lutte contre un projet de parc d'attractions aux portes de nos maisons avec toutes les répercussions que cela peut avoir : nuisances sonores, dépréciation de nos biens immobiliers, ...



Retrouvez l'article de Ouest-France du 27 septembre 2014 en cliquant ici.
Retrouvez l'article du Télégramme du 27 septembre 2014 en cliquant ici.


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Merci à tous et à bientôt.

vendredi 19 septembre 2014

Visite du parc d'attractions de Plumelin : KINGOLAND

Pour avoir une approche objective de l'impact que pourrait avoir un parc d'attractions, nous sommes allés rencontrer Mr LEROUX, propriétaire du parc d'attraction KINGOLAND situé sur la commune de PLUMELIN (en limite de LOCMINE).    

Voici ce qui en ressort :


SITUATION DE KINGOLAND

Sur une superficie de 11 hectares, le parc n'en couvre aujourd’hui que 6, le reste sera exploité au fur et à mesure des nouveaux manèges implantés.
Le nombre de salariés est de 5 à temps plein à l'année auxquels viennent se joindre environ 32 contractuels, à mi ou quart temps, de mi-juillet à mi-août.

La clientèle est constituée de 30 à 40% par des comités d'entreprise, des centres de loisirs (celui de Surzur y est d'ailleurs allé cet été), ...
    
Les riverains sont beaucoup moins nombreux que nous. En effet, une seule maison est à environ 100 mètres, la seconde est à plus de 500 m et le bourg est à plus de 5 kms.


DIALOGUE avec Monsieur LEROUX (que nous remercions pour son accueil)

Mr LEROUX nous dit avoir reçu des subventions de la région et du département pour un total de 200.000 euros (100.000 euros par la région et 100.000 euros par le département). Il ne comprend pas qu'il puisse y avoir un autre parc dans le département et nous dit que les deux ne pourront être viables.

Le temps de construction de ce genre de parc est d'environ 10 mois (après  permis de construire).


CONCLUSION

Un deuxième parc d'attraction sur le département ne serait pas viable.

Si la région et le département versent également 200.000 euros pour le projet de Surzur, et qu'un seul parc ne peut être viable, 200.000 euros auront donc été versés à fonds perdus. Chers amis contribuables, il s'agit de notre argent, est-il normal que nos impôts servent à financer des projets privés ?

Le parc de KINGOLAND est situé près d'une voie expresse en pleine campagne, une seule maison est à proximité (environ 100m). A Surzur, ce sont des dizaines de maisons, des quartiers complets qui sont concernés car riverains.

La construction de ce genre de parc est de seulement 10 mois, CELA PEUT ALLER TRES VITE.

Pour info, Vannes Agglo déclare avoir un déficit important pour son fonctionnement et notamment, je cite  "L'agglomération est donc dans l'obligation de suspendre ses aides aux particuliers.Vannes agglo demande à ce que les crédits en faveur de la réhabilitation soient abondés" (Voir l'article du Ouest-France du 26 septembre 2014 intitulé "L'Agglo fait face à la baisse des dotations de l'état").
Aussi, plutôt que de verser des subventions "à fonds perdus" à des projets de particuliers, ne serait-il pas plus judicieux pour le département et la région d'utiliser nos impôts pour aider des organismes qui œuvrent pour le bien-être de tous .

REAGISSONS AVANT QU'IL NE SOIT TROP TARD !!!

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lundi 15 septembre 2014

Dépréciation de notre patrimoine immobilier

Face au projet de construction d'un parc d'attraction à Surzur, nous nous sommes posés la question de l'impact que cela pourrait avoir (et a déjà) sur notre patrimoine immobilier.

Pour répondre à cette question, notre Président Patrice ANDRE a fait appel à des professionnels de l’immobilier. Voici les réponses des quatre agences immobilières contactées :

- La première n'a pas voulu se déplacer car pour elle : "C'est déjà invendable avec ce projet" !!!

- La seconde a estimé la maison et terrain de notre Président au prix du marché, puis a appliqué une décote de 20% correspondant à l'impact du projet tel qu'il est connu aujourd'hui, à revoir à la baisse si le projet se concrétise !!!

- Les troisièmes et quatrièmes agences ont fait une estimation en précisant "qu'il est impossible aujourd'hui de mesurer l'impact du projet". Par contre si le projet abouti "il y aura obligatoirement une répercussion sur la valeur du bien" !!!

Outre des nuisances sonores, la valeur de nos biens va fortement être impactée par ce projet. Réfléchissez à l'impact que cela peut avoir sur vos biens !

Si vous estimez ne pas être concerné, imaginez demain qu'il y ait le même projet à coté de chez vous.

Rejoignez-nous pour limiter les dégâts d'un tel projet.